From DUNGEONS DEEP: "When a mysterious entity known as "The Conjurer" mailed an unadorned cassette demo to the DDR headquarters, it was hard to resist popping it in for a playthrough. What I was presented with was a surprising homage to the dark dungeon music masters!
For fans of the low and slow - Old Tower, Thangorodrim, Mortiis, etc..."
credits
released February 2, 2024
All sorceries manifested by The Conjurer
Logo, title/track font, and frame art by Mark Riddick
supported by 4 fans who also own “To Rule this Kingdom of Sorrow”
Les fantômes sont intangibles : moins denses que l'air, il est impossible de les toucher et c'est tout juste si nous sommes en mesure de les voir. Si on garde ça en tête, Spectral Castle accomplit un exploit dans Majestic Spectral Castles : le dungeon synth fait sentir la grandeur architecturale, voire l'opulence, d'un château qui n'existe plus. Le registre émotionnel est différent, moins mélancolique et plus noble grâce aux cuivres tout en restant mesuré. La visite est brève mais elle marque. Jordan Vauvert
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I'm sad to have missed the tape release on this one, one of the strongest Dungeon Synth debuts from this waning year. The dense keyboards weave through minimal base lines that ebb and flow effortlessly. Hope there is more (and a repress) from this most hallowed of Dark Ritual(s) in the future. merusmetraton
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J'ai eu la tentation de classer ce premier album éponyme de Starlight Salvation en tant que black metal croisé avec du punk de garage ; mais puisque le contexte médiéval est le fond de commerce de Lila Starless, on pourra parler de "punk d'écurie" pour éviter l'anachronisme. Car si les titres mentionnent presque tous les cieux et les étoiles, les guitares sont épaisses et mettent les pieds dans la boue, la batterie cogne sans pitié et Lila Starless hurle une rage sans fin. Violent, efficace ! Jordan Vauvert